L'urgence humanitaire déterminé par l'afflux de réfugiés et de personnes déplacées a considérablement augmenté en raison de l'expansion de la situation de la présence de conflits dans le monde. Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés a signalé que, dans la première moitié de 2014 l'exode considéré ainsi 5,5 millions de personnes, dont 1,4 millions ont fui leur pays et le reste restés dans d'autres domaines l'intérieur des frontières de votre pays. Les pires scénarios concernant les régions du Moyen-Orient et en Afrique, où ils sont curseurs conflits les plus sanglants, souvent basées sur des causes religieuses. La longue guerre civile en Syrie a fait la distinction douteuse pour le peuple de Syrie, qui ont passé les Afghans, la population devait être mieux assisté par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés. Ce triste record était détenu par trois décennies par les citoyens afghans. Le chiffre global des personnes aidées par les Nations Unies est ainsi passé à 46,3 millions, en hausse de 3,4 millions d'unités d'ici la fin de 2013. Depuis ces données est toujours à la date de la première moitié de 2014, le chiffre est malheureusement destiné à croître dans façon à la suite de la persistance de situations de grave crise militaire, ce qui provoque des scénarios très problématiques du point de vue humanitaire. L'incapacité à résoudre la crise syrienne devrait être encadrée non seulement du point de vue des relations internationales, mais plutôt dans le fait que 23% de tous les réfugiés proviennent de ce pays. Cette valeur explique bien la taille de la tragédie bien que beaucoup d'analyse géopolitique et stratégique syrienne, qui devrait être remplacé par le drame de la situation pour la population d'exhorter interventions paix pays riches et les organismes internationaux eux-mêmes, maintenant trop secondaires inutiles politique en raison de leur immobilité. Cette évaluation, pour une intervention capable d'arrêter la guerre, devrait l'emporter sur toute prudence et d'éviter la poursuite de situations trop longtemps et être appliqués à tous les conflits qui génèrent le phénomène des réfugiés. Certes, même une plus grande prudence dans la gestion de crise, en termes de politique et diplomatique, fournirait une grande aide pour la prévention de l'élargissement de chaque conflit. Ce qui manque, ce est le pouvoir d'intervention neutre des Nations Unies, enfermé dans son organe principal, le Conseil de sécurité, par une législation absurde de permettre au droit de veto aux Etats aux intérêts souvent contraires, l'aide de l'outil supranational pour leurs fins géopolitique. La valeur du nombre de réfugiés devrait être prise pour mesurer, dans un sens absolu, pour déterminer une intervention neutre à éviter les conflits et de chercher une solution négociée qui entraverait le choix de la solution de la fuite des civils non armés. Défilement des données Afrique continue d'être une partie importante du phénomène des réfugiés, où les causes ne sont pas faites que par la guerre, mais aussi par la famine. Après la Syrie et l'Afghanistan il est de la Somalie (1,1 millions), suivi par le Soudan (670 000), le Sud-Soudan (509 000), la République démocratique du Congo (493 000), la Birmanie (480 000) et l'Irak (426,0000). Elle est causée par un des conflits politiques et militaires de rang, la famine, le manque d'alternatives viables edi de l'eau de rester dans leur propre pays. De même explication, cependant, est le classement des pays qui abritent plus de réfugiés, où le Pakistan est le leader avec 1,6 millions, en raison de la proximité avec l'Afghanistan dont les citoyens choisir du pays suivant, suivi par le Liban (1,1 millions ), l'Iran (982 000), la Turquie (824 000), la Jordanie (737 000), l'Ethiopie (588 000), le Kenya (537 000) et le Tchad (455 000). Comme nous le voyons aucune référence à un état riche de l'Ouest et même parmi les pays émergents. L'engagement en matière d'accueil de la part de l'Ethiopie, le Kenya et le Tchad, montre que le stress que subissent ces pays est susceptible d'affecter la structure de l'Etat, parce qu'ils sont trop stressés et sans les ressources nécessaires. Donc, il ya le problème supplémentaire du traitement que les réfugiés peuvent recevoir, et la source souvent insuffisante de l'aggravation de la santé en raison du manque d'installations adéquates.
La forte présence des réfugiés au Liban, la Turquie et la Jordanie reflète l'influence de la migration la Syrie pour sa proximité de Damas, qui commence à causer des perturbations graves dans ces pays pour la non-viabilité de la pression des réfugiés, tant et si bien que le Liban à adopter la besoin de visa pour ceux qui viennent de Syrie. Le nombre de réfugiés assistés par les Nations Unies ne inclut pas les Palestiniens, pour lesquels il existe une agence spéciale de l'ONU et ne comprend même pas les réfugiés dans les pays qui ne nécessitent pas l'intervention du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, qui puis ne agit que sur demande et ne pouvait pas en être autrement pour des raisons de droit international, et que, par conséquent, se élève à un plus grand nombre de 46,3 millions d'inscrits. Cela impose une réflexion qui doit déboucher sur un accord entre les nations à réduire la possible avant ce phénomène qui provoque la souffrance et qui est destiné à contribuer à des situations en dehors de la légalité aider à renforcer précisément les mouvements qui causent le phénomène.
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