Les négociations visant à maintenir la Grèce dans le périmètre de l'euro et donc l'UE d'atteindre une phase décisive. Bruxelles souhaite parvenir à un accord, ce qui peut se permettre de maintenir les garanties aux créanciers, mais en même temps, fournir la garantie d'Athènes double, économique et politique, pour permettre au pays de surmonter la crise et que ne se répète pas à nouveau une situation similaire. Ce est cette deuxième exigence est central et devient hautement symbolique contre la conduite de l'Allemagne, fait de l'austérité et de rigueur, réalisée contre toute raison. La victoire de la gauche grecque a mis l'Union européenne face à la nécessité de changer la politique dans un cadre formel et officiel, grâce à un résultat de l'élection d'un Etat membre, au-delà des nombreuses manifestations spontanées et informelles qui ont déjà critiqué les contraintes financières excessives imposée par les autorités centrales et subi par la population européenne. Pour arrêter le mécontentement généralisé et la dérive populiste, qui menace de saper les fondements de l'institution commune européenne, l'exécutif de l'Union européenne pourrait proposer le démantèlement de la troïka, composée de la Commission européenne, le Fonds monétaire international et de la Banque centrale européenne; cette disposition constituerait un acte d'une grande valeur symbolique, étant donné que la troïka est considéré comme le responsable de l'application de la peine, non seulement pour la Grèce mais aussi dans d'autres pays européens en difficulté. D'autre part simplement les programmes élaborés par la troïka se sont révélées tout à fait tort, car elles étaient fondées sur des perspectives de croissance qui devaient être réalisés grâce à des prêts prodiguées. Ce facteur donne lieu à de vives critiques à la fois sur la bonne foi, que la compétence réelle de ceux qui a élaboré des plans d'affaires, qui étaient derrière l'octroi de prêts; le soupçon est que ce est, entre autres, mener une politique qui favorisait entités créanciers avec des taux presque porter. Nous comprenons comment l'élimination possible de la troïka constitue un fait nouveau et un objectif hautement politique, sortant des limites de grec et concerne les politiques économiques de l'ensemble de l'Union européenne, qui devrait connaître une refonte totale. Il reste un besoin de créer les conditions pour matériaux éventuels remboursement de la dette grecque, que le nouveau gouvernement grec refuse de rembourser aux anciennes conditions. Il faut souligner que la Grèce veut éviter le paiement des dettes, et ce est un autre facteur politique décisif dans le cadre de l'Union européenne, mais a l'intention de le faire avec le temps et les différentes façons, pour être en mesure de soutenir le programme électoral du nouveau gouvernement, marqué une plus grande attention aux questions sociales. A cet effet, la restructuration de la dette grecque est au centre des négociations, par la recherche d'un accord qui concerne l'extension des échéances et des taux d'intérêt plus bas. Il doit également être maintenu la ligne de crédit qui est nécessaire pour la Grèce pour couvrir les besoins budgétaires immédiats. Trouver une solution viable à ces problèmes permettrait de résoudre un problème de toute urgence économique, mais surtout politiquement, ce serait mettre en lumière nouvelle l'institution communautaire à le tenir éloigné des dérives dangereuses.
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