Une manœuvre militaire, par les forces aériennes de l'Arabie saoudite a bombardé les bastions des rebelles chiites au Yémen. La décision a été prise pour bloquer la demande chiite avance du président du Yémen. Font partie de la coalition politique, en plus de l'Arabie saoudite, y compris les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Qatar, le Koweït qui devrait être complété par l'Egypte et les Etats-Unis, grâce à l'appui logistique et de renseignement. Une justification de l'opération, il était question d'un déménagement nécessaire de rejeter, en plus des rebelles chiites, y compris al-Qaïda et l'Etat islamique, qui pourrait profiter de la situation. En fait, le véritable objectif était de protéger le gouvernement légitime et d'empêcher les chiites pourraient prendre le pouvoir dans tout le pays, qui borde l'Arabie saoudite. Riyad a maintes fois exprimé la crainte d'avoir un allié très proche des frontières avec l'Iran et a finalement décidé d'agir de la guerre. Cette préoccupation a été partagée par les autres pays du golfe Persique et l'Egypte, qui craignent la modification des zones d'influence respectives religieuse entre sunnites et chiites; cette crainte a dû abandonner, même Washington, de ne pas perturber davantage les relations avec les alliés sunnites, dans un acte d'équilibrage dangereux, qui apportera quelques problèmes dans les relations avec l'Iran. Il reste à voir comment Téhéran, qui a soutenu les rebelles chiites au Yémen, avec l'intention d'augmenter sa zone d'influence, mais empiétant donc risqué et se approcher trop près aux Saoudiens. Sur la manoeuvre internationale Saoudite peut être justifiée par la demande d'aide du président yéménite et la peur de situations dangereuses trop près de son territoire, une sorte de protection préventive. En effet la stabilité régionale était beaucoup plus près d'être compromise, mais l'action arabe pourrait avoir un des effets néfastes sur le long terme; En fait, si le court terme, la situation est susceptible de rétablir le gouvernement légitime, mais le porte-parole des chiites ont déjà parlé d'une déclaration de guerre. Ce moment montre que la plus grande probabilité de l'avenir du pays du Yémen, est un scénario d'instabilité. En effet, il semble très peu probable que Téhéran ne sera un spectateur. Dans ces cas, l'Iran, l'Irak et la Syrie à penser, est utilisé pour déployer leurs hommes sur le terrain, sans insigne officiel, d'apporter une aide aux populations chiites impliquées dans des actes de guerre. Si vous venez à une utilisation des Iraniens réels sur le territoire yéménite, vous pouvez regarder les combats avec les soldats des armées des pays du Golfe, qui ont déjà exprimé leur volonté d'intervenir sur le terrain, avec des militaires et diplomatiques conséquences de la résolution difficile. Dans cette phase, les Américains travaillent aux côtés des pays sunnites, probablement basé sur le principe de ne pas vouloir modifier leurs zones d'influence respectives fondées sur la religion, un sujet qui est toujours présenté très délicat quand il ya une confrontation entre l'Iran et l'Arabie saoudite. Mais dans le sillage immédiat de Washington doit mettre en place toute sa force diplomatique afin de prévenir la dégénérescence de ce conflit local, y compris par la protection des minorités dans les territoires chiite sunnite, ce est en particulier le cas du Yémen et dans tous les pays où une telle protection est absent. Il serait donc empêcher d'autres comparaisons avec l'Iran et ne pas lui donner une chance de travailler, même au niveau diplomatique. Ce scénario, lorsque ce est juste un espoir, la situation est compromise, même pour le fort ressentiment des monarchies du Golfe de négociations pour le dossier nucléaire iranien, qui reste un objectif fondamental de la politique étrangère américaine: à la Maison Blanche pour être un cas difficile démêler.
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