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mercoledì 27 aprile 2016
La situation instable en Egypte
faits
égyptiens récentes montrent que le pays dirigé par Al Sisi est de
retour dans un état grave d'instabilité, marquée par une politique de
répression féroce, mais aussi à partir d'un fossé dangereux qui traverse
la société égyptienne. Du
printemps arabe à la chute de Moubarak, jusqu'à ce que la mise en place
de la dictature de façon démocratique islamique Mursi est de retour
rapide à la dictature militaire d'Al Sisi, construit sur le modèle de
celui de Moubarak, mais encore plus violente et répressive. Ce
qui est impressionnant sont les modalités de violence, mis en œuvre
avec plus de vigueur et devant une opinion publique internationale
incapable d'actions importantes de l'application, par crainte d'une
nouvelle déclaration de la puissance des islamistes. Ceci
est le fait central qui empêche un scénario international consterné par
la répression du gouvernement du Caire, de mettre en œuvre les actions
nécessaires, telles que des sanctions, pour arrêter les pratiques
répressives; d'autre
part, il est précisément ce facteur qui Al Sisi fonde ses méthodes et
de son impunité, cependant, le mécontentement croissant de la population
égyptienne, fondée sur des raisons économiques, ainsi que les
politiques, semble aller vers les conditions qui ont conduit à la chute
de Moubarak, avec une réplique tragique de ce qui a été vu. Si,
d'une part, il est également vrai que l'armée continue à être la force
dominante dans le pays, notamment dans les domaines des forces armées,
ils seraient les nouveaux problèmes liés à la méfiance croissante des
grands secteurs de la scène internationale, qui commencent à se demander
ce que le mal la partie inférieure de la répression de Al Sisi et le retour possible des islamistes. En
réalité, un moyen de sortir pourrait être représenté par une alliance
des secteurs modérés des forces armées avec les représentants des partis
laïques, aussi, pour l'instant, l'objet de la répression. Il
faut remarquer que, tout en ne partageant pas les méthodes du
gouvernement actuel, pratiqué contre les Frères musulmans, qui avait mis
en place une dictature religieuse, les forces laïques avaient
initialement partiellement supporté Al Sisi, dans l'espoir d'amener le
pays à un pluralisme démocratique Il n'a pas eu l'influence des islamistes, mais pas même les militaires. En d'autres mots Al Sisi a été considéré comme une sorte d'essentiel à une évolution démocratique de l'Egypte. Les
représentants des partis démocratiques ont réalisé l'erreur
d'appréciation faite rapidement vers le général, qui voulait établir une
dictature militaire qui concentre une grande partie de la puissance de
l'État. La
façade offre Al Sisi, rejetée rapidement par les démocrates, ils ont
déterminé leur départ officiel de la vie politique, plaçant hors la loi
toutes les parties. Du
point de vue international, nous l'avons vu, que le régime exploite la
peur occidentale des islamistes, bien que ce point de vue est pas si
évident, mais du point de vue à l'intérieur du gouvernement n'a pas des
facteurs tout aussi convaincants pour apaiser le mécontentement
populaire. Une
dictature est déjà difficile à supporter des conditions économiques
positives, mais la situation en Egypte, de ce point de vue, que ces
documents soient temps très inquiétant faible pour cette organisation
doit assurer le contrôle de l'avant de la maison, d'ailleurs, exacerbé
par des niveaux de corruption jamais enregistrés supérieur et qui concerne les détenteurs du pouvoir à tous les niveaux. Ceci
explique une utilisation incessante de la propagande à laquelle peu de
gens croient encore et l'utilisation d'une répression sans retenue,
frapper les opposants et les journalistes, les Egyptiens et les
étrangers. Ces
jours, les cas de disparition de militants et opposants au régime
semblent augmenté, ce qui en fait une preuve indirecte de la
responsabilité de la mort du chercheur italien, engagé dans une analyse
des syndicats dans le pays, qui continuent d'être un sujet potentiel de
contraste au régime. Dans
ce cadre, les fidèles Al Sisi deviennent une minorité, importante, mais
la baisse, qui était d'abord dans l'armée, mais aussi dans les classes
les plus riches du pays, le même qui jouissaient de privilèges dans les
jours de Moubarak mais
la pression sociale croissante des classes moins fortunées, dénote une
attitude de désespoir de la situation dans le pays, ce qui ne semble pas
diminuer la puissance, mais il est en effet va augmenter. Il
est un signal très indicatif pour Al Sisi, vous devriez vous rappeler
ce qui est arrivé à Moubarak, pour essayer de changer leur façon de
gouverner, si elle est pas trop tard, à l'inverse de l'avenir du général
égyptien semble être scellé, et cela pourrait ouvrir dans
le pays des scénarios trop inquiétantes pour les répercussions
internationales d'être négligés par les puissances occidentales et
l'Organisation des Nations Unies elle-même, qui devrait travailler à une
transition en douceur et guidées pour éviter de nouvelles violences
dans un pays clé de l'équilibre régional.
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