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venerdì 31 marzo 2017
Les difficultés entre Bruxelles et Londres pour l'Europe sortie
Avec
la livraison de la lettre qui commence la procédure de sortie anglaise
par l'Union européenne, vous entrez dans les aspects pratiques qui
doivent être objet d'un accord entre les deux parties. Ces accords essentiellement politique, mais ils auront des effets réels sur des sujets individuels raison de la négociation. L'un
des points où, pour l'instant les parties sont plus éloignées, est
celle des dispositions pour régler la sortie de l'union et les relations
futures entre les deux parties: le Royaume-Uni préférerait traiter les
deux aspects en même temps, alors que l'Europe première question pour définir la sortie, puis ajuster les relations futures. Il
est compréhensible que le premier ministre essaie de mettre en œuvre
une stratégie qui peut minimiser les inconvénients finaux, en essayant
d'accord avec les conditions de production et les relations futures, les
liens inextricables ensemble. Cette
tentative, cependant, est combattue par Bruxelles, qui veut laisser le
moins d'espace possible pour la négociation à Londres; À
cet égard, il convient de noter que, du côté européen, le Parlement
votera sur une résolution à la fin de la négociation, et, entre ses
pouvoirs auront le droit de veto. Cela signifie que l'assemblée élective européenne rejette l'accord hypothétique. Donc,
pour éviter un vote négatif du Parlement, ce qui allongerait le temps,
les négociateurs auront sombre un accord satisfaisant pour les deux
parties. L'intention
principale, de Bruxelles, est de garder les compréhensions du
Royaume-Uni en ce qui concerne la défense et la lutte contre le
terrorisme, bien que cela semble compliqué déjà le manque de coopération
entre les services secrets des pays de la ' union. Sur
le reste des sujets l'espoir est de parvenir à une entente convenue, en
particulier pour empêcher le Royaume-Uni devienne un État dont le
régime juridique régissant les relations commerciales sont les règles de
l'OMC, dans ce cas, des deux côtés pourrait être a appliqué des droits de douane sur les marchandises entrant. Si
cela se produit, malgré l'inconvénient qu'il serait pour les deux
parties d'être le plus serait le Royaume-Uni négativement affectée. Certes, un raidissement des deux parties pourrait également causer des non-coopération en matière de défense. Un
aspect que Londres détient beaucoup a la fonctionnalité de ses
institutions et organisations financières, que sans l'accès au marché
européen, verraient leur fonctionnement considérablement réduit. Une
possibilité d'opérer en Europe est similaire à la société suisse,
l'organisation de leurs activités syndicales, grâce à un permis obtenu
de la Commission européenne, mais sans un accord qui satisfait
Bruxelles, cette possibilité est pratiquement exclue. Une
question très difficile à résoudre sont les contributions au budget
européen que Londres a promis de faire correspondre à 2020, soit après
la sortie de l'Europe, qui devrait avoir lieu en 2019; Ces
contributions sont estimées à environ 60 milliards €, une somme
importante que Londres va essayer de ne pas payer, ou à un moindre
salaire, rencontrant l'opposition naturelle de l'union, qui a déjà prévu
au budget des contributions en anglais. Un
autre aspect sur lequel Bruxelles ne compromet pas la volonté de
Londres pour conclure des accords séparés avec les états des membres du
syndicat, évitant ainsi les décisions communautaires; Bruxelles
va essayer de mettre cette interdiction dans les accords, mais si elle
ne réussit pas peut toujours prévoir des sanctions pour les Etats
membres, et pour le Royaume-Uni, par le resserrement des droits. Enfin,
il reste la question écossaise, si le parlement d'Edimbourg devrait
décider du référendum et le détachement de Londres devaient obtenir la
victoire, l'admission à Bruxelles de l'Ecosse devrait suivre la
procédure valable pour tout autre Etat, mais la perception est il
pourrait ouvrir une voie préférentielle, comme une région d'un pays
autrefois appartenant à l'Union, et donc formellement déjà en Europe,
même si elle ne crée pas de friction avec Londres. Peut-être
la meilleure chose, même pour l'Ecosse serait d'attendre la fin des
négociations pour ouvrir l'avant du référendum, pour être plus léger sur
un accord qui promet déjà difficile.
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