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venerdì 25 agosto 2017

L'Iran et l'Arabie saoudite tentent de se rapprocher

La diplomatie de l'Iran et de l'Arabie Saoudite connaît un rapprochement timide. À l'heure actuelle, les relations formelles entre les deux pays sont interrompues pour leurs retraits des ambassades de la capitale. La première étape du rapprochement a été l'annonce par le Ministre des affaires étrangères de Téhéran d'un échange de visites entre les représentants des deux États, qui est considéré comme une condition préalable pour relier les relations bilatérales. Le premier résultat à atteindre est la réouverture des ambassades des deux pays en tant qu'élément clé pour le refroidissement des relations entre l'Iran et l'Arabie saoudite. Ce scénario, en plus de normaliser les relations entre les deux pays, aidera également à résoudre deux scénarios de crise, comme la Syrie et le Yémen. Un autre problème qui pourrait être résolu est l'isolement imposé au Qatar par les monarchies du golfe Persique, juste pour ses relations avec le gouvernement iranien. L'espoir iranien est que l'Arabie saoudite puisse reconsidérer certaines de ses politiques pour favoriser une attitude positive de Téhéran. La division entre les deux pays est chargée de raisons religieuses, sans doute présentes, car les deux nations sont les principaux représentants des deux parties dans lesquelles l'islam est divisé. Cela a généré dans le passé, et même maintenant, des contrastes profonds, qui se sont transformés en affrontements politiques; Cependant, les raisons de la distance entre les deux pays sont également de nature économique, qui sont les principaux producteurs de matières premières liées au secteur de l'énergie et du désir d'étendre leur influence géopolitique respective au Moyen-Orient. L'Iran, après les accords nucléaires, sort lentement de l'isolement international et a pris un rôle de plus en plus important dans le contexte régional, luttant efficacement contre les Arabes. L'engagement iranien, directement opposé à l'État islamique, a encore renforcé l'importance de Téhéran dans le scénario international, mais a accru la confrontation avec l'Arabie saoudite, précisément parce qu'il a mis en place des combattants chiites contre les sunnites, bien qu'ils appartiennent à Aux forces terroristes de l'Etat islamique. Ce facteur a contribué à la préservation de l'Irak chiite-chiite, à l'invasion des forces du caliphe, mais a souligné en même temps la volonté iranienne de retrouver une place de choix dans les échecs régionaux et internationaux. Cela a provoqué la réaction arabe, qui a coagulé autour des principaux pays sunnites, comme la Turquie et l'Egypte, au-delà du soutien non officiel d'Israël, un ennemi historique de Téhéran. Il faut ajouter le changement de l'attitude américaine qui, avec Obama, a été marquée par un équilibre substantiel entre les deux pays, surtout après avoir atteint l'accord sur le nucléaire iranien, alors que Trump a montré une plus grande contiguïté avec l'Arabie saoudite. Pour équilibrer ce déploiement opposé, l'Iran s'est approché de Moscou, qui est allié au conflit syrien à l'appui d'Assad. Cependant, il est important que Téhéran continue de jouer un rôle de premier plan au niveau diplomatique et de se concilier en faveur du développement de relations internationales interrompues. Sur la table, il faut d'abord résoudre la question du Qatar, qui doit résulter de l'isolement imposé par les pays sunnites et beaucoup plus tragique au Yémen, où le conflit saoudien et les croyances chiites ont traîné trop longtemps, créant Une situation de santé très préoccupante pour la présence de choléra. Il est entendu qu'avec un accord de base entre l'Iran et l'Arabie saoudite, il n'y a aucun moyen de négocier ces scénarios et d'autres où les deux pays sont directs ou indirects, mais en tout cas opposés. Inutile de dire que la reprise des relations entre les deux pays serait également un facteur de stabilisation pour l'ensemble de la région.

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