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martedì 10 aprile 2018
La nécessité de réformer le Conseil de sécurité
L'un
des principaux problèmes liés à la guerre en Syrie est celui du
contrôle de l'utilisation des armes chimiques et de ceux qui doivent
faire respecter ces limitations. Le scénario est international, donc réglementé par des lois trop souvent méconnues; Dans
ce contexte, l'entité supranationale avec une plus grande
responsabilité devrait être représentée par les Nations Unies,
cependant, les trois organes dont ils sont composés, le Secrétaire
général, l'Assemblée et le Conseil de sécurité, que ce dernier serait en
mesure de faire respecter résolutions décidées par l'assemblée. Cependant,
le mécanisme juridique étudié à la fin de la Seconde Guerre mondiale
exprimait un système basé sur des votes croisés, conférant aux membres
permanents un pouvoir trop élevé par rapport aux autres pays des Nations
Unies. Cela
a produit une insuffisance substantielle du seul organe du gouvernement
mondial, resté prisonnier des intérêts spéciaux, en avance sur les
généraux. Le
cas syrien n'est que l'exemple le plus récent et le plus récent de
l'inutilité substantielle d'une organisation qui, comme celle qui l'a
précédée, se dirige vers l'échec. Bien
sûr, le manque de moyens appropriés pour faire respecter les traités ou
les interdictions imposées aux armes est un obstacle majeur, mais pire
encore, la situation réglementaire qui permet aux membres permanents
d'exercer, même individuellement, leur droit de vote uniquement fonction de leurs intérêts nationaux. Plusieurs
pays ont appelé à plusieurs reprises à la nécessité d'une réforme,
toujours niée par l'égoïsme des membres permanents. Il
n'a pas non plus été possible de mettre en place des mesures
correctives en présence de situations humanitaires particulièrement
graves, craignant que, dans un proche avenir, ces exceptions puissent
violer des intérêts publics conflictuels, par exemple avec une
éventuelle aide humanitaire. Malheureusement,
dans l'histoire, il y aura toujours des dictateurs comme Assad, qui
n'auront pas peur d'utiliser les pires armes, même contre des civils,
car ils seront toujours prêts à utiliser ces dictateurs pour atteindre
leurs objectifs. Cependant,
une modification du Conseil de sécurité suffirait pour tenter
d'introduire des études de cas juridiques qui pourraient prévenir les
massacres et les souffrances, même sans insérer de nouvelles règles pour
l'Assemblée et pour les fonctions du Secrétaire Général. Sans
changement, le prestige du Conseil de sécurité et, surtout, de ses
membres permanents est susceptible de diminuer considérablement, mais
cela ne pourrait être que le premier pas vers une perte progressive des
fonctions de l'ONU, qui enregistrerait un affaiblissement substantiel, de
nature à mettre en péril les relations multilatérales entre Etats et ce
système qui vise à garantir la sécurité internationale. Considérer
de moins en moins graves certains crimes, tels que, en effet,
l'utilisation d'armes chimiques, vu en vue de normaliser le problème,
peut entraîner la perte de l'efficacité de la peur des sanctions
internationales et, par conséquent, faire place à un système général
avec de moins en moins de règles, car celles en vigueur ne garantissent
pas la répression et la punition des auteurs de crimes. Les
vetos du système, qui est maintenant la base du fonctionnement des
Nations Unies, doivent être surmontés par la nouvelle réglementation,
qui ne cherchent qu'à protéger les garanties minimales de la vie des
civils, même contraires aux intérêts des Etats individuels. L'assurance
de la peine de ceux qui commettent des violations graves contre la
population civile, mais en sa qualité de chef de l'Etat, devrait être la
première étape pour réaffirmer la mission supranationale d'intérêt
général qui doit être poursuivi par les Nations Unies, la
décadence des relations internationales comprise comme une forme de
multilatéralisme qui, dans un contexte global, devrait représenter la
règle commune.
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