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venerdì 25 settembre 2020

L'introduction du bien-être dans les pays pauvres comme facteur de stabilité mondiale

Si l'un des problèmes mondiaux est la stabilité, non seulement celle entre États entendue comme relations internationales, mais aussi celle entre les populations, il faut agir sur les déséquilibres profonds présents du fait de l'augmentation des inégalités. Ce phénomène ne concerne pas seulement les pays pauvres, où il est naturellement exacerbé par des circonstances contingentes, mais aussi les plus riches, mettant en évidence une transversalité du phénomène au niveau mondial. Il semble évident qu'en plus des répercussions à l'intérieur des frontières nationales individuelles, l'impact de la pauvreté et des inégalités, qui est enregistré au niveau international, affecte des aspects purement économiques, tels que la production, la distribution et la consommation de biens jusqu'à problème général de la migration, que de nombreux problèmes politiques continuent de générer au niveau mondial. Les données mondiales sur la protection sociale indiquent que plus de la moitié de la population totale de la planète ne dispose d'aucune forme de protection liée aux soins de santé, à la protection pour les nouveaux handicaps ou aux services pour la famille et au soutien économique pour l'intégration ou le remplacement. revenu insuffisant. Tous ces appuis pourraient être un facteur décisif précisément contre la pauvreté et les inégalités, compte tenu également du fait que, selon l'Organisation internationale du travail, agence des Nations Unies, seulement 45% de la population mondiale bénéficie d'une forme de des prestations sociales et sur ces 45% seulement 29% disposent de formes complètes d'outils sociaux. Si le chiffre global du versement d'un revenu sous forme de pension est d'environ 60%, la situation se produit dans les pays où le revenu moyen est plus faible et où l'assurance pension ne concerne que 20% des personnes. Si la vieillesse semble mal protégée, même l'enfance n'offre pas une aide adéquate: en fait, le pourcentage de pays qui déclarent avoir une certaine forme d'assistance pour les enfants est inférieur à 60% de tous les pays et avec des différences significatives entre pays riches des pays pauvres. Ce scénario a été aggravé par la pandémie, exacerbant certainement les situations les plus critiques, mais même dans les pays les plus développés, l'événement inattendu a été trop surprenant pour développer rapidement des contre-mesures sociales capables d'apporter des réponses pour atténuer les effets économiques. et les soins de santé de la crise. Selon les estimations des Nations Unies, la somme nécessaire aux pays en développement pour assurer des services de santé complétés par une sorte de revenu minimum est d'environ 1 200 milliards d'euros, soit un pourcentage d'environ 4% du produit intérieur brut de ces derniers. pays et qui représente un engagement financier insoutenable des économies sous-développées. Cette situation de nécessité ne représente cependant pas une urgence contingente due à la pandémie, mais une aggravation des situations déjà présentes, due, outre les crises récurrentes, également au non-respect des engagements pris par la communauté internationale et, par conséquent, par les pays riches, de fournir aide concrète aux pays en développement. Le non-respect de ces engagements formels, à la fois politiques et juridiques, place les pays riches dans un défaut grave mais aussi moral et pratique, quand on met en évidence l'incapacité à gérer les phénomènes migratoires, pas seulement ceux provoqués par les guerres. ou famines, mais aussi et surtout sur le rejet des migrants dits économiques. En effet, si les conflits et aussi les famines prévoient un autre type d'engagement, qui, par ailleurs, devrait être dû et recherché assidûment et non seulement fonctionnel à des intérêts particuliers, l'atténuation des facteurs qui déterminent les flux migratoires économiques, pourrait être réalisée. efficacement de manière à au moins réduire le nombre de personnes contraintes de quitter leur pays en raison de la pauvreté, avec des interventions ciblées et coordonnées permettant le développement d'activités économiques capables d'assurer les moyens d'existence des populations. Le soutien social fait partie intégrante et essentielle de ces aides car il permet une plus grande indépendance des tranches d'âge productives et constitue une intégration directe ou indirecte des revenus, qui peut libérer des ressources humaines et également générer des opportunités d'emploi pour être placé dans le solde total des employés. La coordination doit commencer par les organisations internationales, mais les États riches doivent prévoir une contribution adéquate, qui doit être considérée comme un investissement dans leur propre stabilité.

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