La famine à Gaza se révèle de plus en plus telle qu'elle est : une variante des armes de destruction massive utilisées par Israël, avec le soutien clair des États-Unis, contre les Palestiniens de Gaza. Bombarder la population depuis les airs et depuis le sol, détruire leurs habitations et les soumettre à des mesures sanitaires draconiennes a été jugé insuffisant : l'arme de la faim sert à accomplir l'objectif du génocide, dont le seul but est de s'emparer du territoire palestinien, une variante encore plus violente de ce qui se passe déjà dans les colonies. Les survivants palestiniens sont victimes de tortures brutales : contraints par la pénurie alimentaire, ils sont contraints de se rendre dans des zones reculées où la Fondation humanitaire de Gaza, une organisation américaine, est censée distribuer de l'aide. Les Palestiniens, debout en files forcées, souvent avec des passages forcés à l'intérieur de véritables cages, sont abattus par les soldats israéliens. Selon certains soldats eux-mêmes, les tirs résultaient d'ordres directs d'officiers israéliens, tandis que d'autres versions parlent de pelotons composés de soldats des colonies, ou de ceux qui partagent au moins leurs objectifs, qui ont désobéi aux directives officielles visant les Palestiniens. Ces formations militaires sont par ailleurs tenues pour responsables d'actes contre des civils, comme le récent bombardement de l'église catholique de Gaza. Quoi qu'il en soit, compte tenu des incidents malheureusement de plus en plus fréquents ciblant la population en quête de nourriture, il est raisonnable de supposer que les deux hypothèses sont vraies et qu'il s'agit d'une stratégie, plus ou moins dissimulée, du gouvernement israélien visant à expulser la population palestinienne de Gaza et à ramener la bande sous le contrôle administratif direct de Tel-Aviv, comme l'avaient déjà émis l'hypothèse de Trump et d'une récente vidéo créée par un ministre en exercice grâce à l'intelligence artificielle. À Gaza, par conséquent, des civils continuent de mourir, tués à la fois par l'armée israélienne et par la tactique de la famine. Si la réponse militaire reste timide, se limitant à des déclarations prévisibles et inefficaces, la question de la pénurie alimentaire a suscité une déclaration ferme signée par 109 organisations non gouvernementales, qui ont officiellement demandé l'envoi d'aide humanitaire. Israël a provoqué une véritable famine de masse, qui a entraîné une malnutrition sévère dans toutes les tranches d'âge, mais avec des conséquences particulièrement graves pour les enfants et les personnes âgées, souvent victimes de cette terrible privation. La demande porte sur l'ouverture de tous les points de passage frontaliers afin de permettre l'approvisionnement en nourriture, en eau potable et en médicaments de la population, mais selon des procédures réglementées par les Nations Unies, et non par des prestataires américains. Des fournitures arrivent déjà de la bande de Gaza, mais Israël continue de les bloquer sous divers prétextes. La faute est imputée au Hamas, mais on ne comprend pas comment cette organisation terroriste, sévèrement décimée, dispose encore d'un pouvoir aussi important pour influencer une chaîne d'approvisionnement aussi vaste. Il est clair qu'il s'agit d'un prétexte pour perpétuer la famine parmi les civils. La dénonciation des ONG fait suite à la déclaration commune de 25 pays, qui ont appelé à la fin de la guerre et condamné les méthodes de distribution alimentaire. Ces déclarations, cependant, ne sont pas suivies de mesures de rétorsion, telles que des sanctions, susceptibles de nuire à l'économie israélienne, comme c'est le cas avec la Russie. Sans positions efficaces, toute déclaration n'a aucun effet sur Tel-Aviv, qui peut continuer à augmenter le bilan du massacre qu'il a perpétré jusqu'à présent, qui, selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé de Gaza dirigé par le Hamas, s'élève à environ 60 000 morts. tandis que pour les vivants, on estime que 87,8 % des habitants de Gaza ont été ou sont soumis à des ordres d'évacuation sous contrôle militaire israélien, une situation qui expose une occupation militaire injustifiée de civils, sauf pour le motif de causer délibérément des souffrances et dans le but d'annexer le territoire palestinien de la bande de Gaza à l'État juif.
Nessun commento:
Posta un commento