La bonne taille de l'attaque à Paris

Après la première étape de dédain complet pour le bombardement de Paris, le plus loin de l'époque du massacre, plus les réflexions sur les raisons qui ont causé l'attaque. Il ya un large débat était sur la réelle opportunité de publier des dessins afin offensives; ce fait serait un prétexte pour les bombardiers faire leur geste. La nature de cette réflexion concerne, logiquement cercles islamiques, mais aussi des chrétiens et laïcs. La récente déclaration du pape, qui a été précédée par une condamnation de la violence, il est placé dans la même veine, dénonçant l'infraction à aucune religion. D'autre part, il est logique que le plus haut représentant de l'Eglise catholique se rangera du côté de la défense du respect religieux, quelque chose qui ne devrait certainement pas être contredit, mais, il est vrai aussi que ce ne est pas le droit réflexion sur la disproportion de la réaction des fondamentalistes islamiques. L'évaluation correcte de la non proportionnalité entre l'infraction a été commise par les dessins animés et la sanction imposée par les terroristes, ne est même pas de différents secteurs laïcs qui préfèrent avoir à réfléchir sur les possibilités offertes par la législation en vigueur, en l'occurrence le français, pour punir les infractions contre la religion. Le raisonnement semble superflu, veut au lieu d'introduire une réflexion qui n'a pas été fait par presque ne importe qui. Raisonnement de cette manière, ce qui signifie essentiellement que les dessinateurs ont posé pour lui, cacher un aspect beaucoup plus important: se ils ne avaient pas frappé le journal satirique, nous sommes sûrs que les terroristes ne auraient pas eu une autre attaque? Le problème est, il ne est pas la satire, même de mauvais goût, contre la religion; si oui, la solution serait de faire une loi qui interdit ce genre de satire, mais les attaques et l'attitude hostile des fondamentalistes contre l'Occident resterait inchangé. Essentiellement, ce est alarmant de constater que le débat se concentre sur si oui ou non que la satire contre l'Islam est autorisée et constitue un danger pour la stabilité de l'Ouest. La petitesse de cet argument détourne l'attention sur les vrais problèmes, dont l'attaque contre un journal satirique était qu'un symptôme tragique. Par analogie, alors vous pourriez dire que les marathoniens Boston étaient offensive contre Muhammad ou navetteurs à Madrid contre l'Islam et que le métro de Londres ne était pas en conformité avec les préceptes religieux. Ce qui est perdu de vue est l'aversion de plus en plus radicale islam fondamentaliste qui se développe contre l'Occident et son mode de vie, souvent rejetée par les citoyens islamiques occidentaux. Sur cet aspect, les gouvernements européens doivent travailler en vue de prévenir le non-violente: à présenter la meilleure solution possible en tant que forme de gouvernement démocratique et ne pas prendre pour acquis et garantir la liberté religieuse de donner un sens que ce est une garantie universelle. Cependant ce ne est pas une tâche facile, étant donné que dans l'Islam ne existe pas la division entre la politique et la religion. Cela pourrait être l'une des principales raisons qui sous-tendent le manque d'intégration de certains musulmans, les plus extrémistes, dans les sociétés occidentales. La relation entre la politique et l'Islam va revenir plus souvent à celui conçu par les Frères musulmans, qui est la coïncidence absolue entre l'administration des affaires publiques avec l'élément religieux, jusqu'à ce qu'ils deviennent une; ne est pas surprenant adversaires de fraternité, les musulmans laïques et modérées ont parlé de fascisme islamique. Cette vision, en fait, aucune exception et est le même qui sous-tend l'exercice du pouvoir du califat ou Boko Haram, qui se traduit par la charia dans les normes juridiques. Cette fondamentalisme religieux, qui est facile à pratiquer et tangible dans le territoire administré par l'Etat islamique, exerce, sans aucun doute, un haut degré d'attraction pour les jeunes Occidentaux, qui sont fascinés par les proclamations de la conquête de l'Ouest par les Noirs drapeaux du califat. Ces données sont irréfutables et qui doit être couverte par une action préventive non-militaire des démocraties occidentales, qui doit avoir des éléments d'attraction tels que de vaincre ceux proposés par l'extrémisme islamique. Retour au début du discours doit stocker le débat sur la légitimité de la satire sur la religion et lui donner pour acquis, jusqu'à ce que vous prenez, malheureusement, d'adopter une loi de censure et de se concentrer sur la protection de cibles potentielles que le terrorisme islamique frapper.