Politica Internazionale

Politica Internazionale

Cerca nel blog

martedì 19 marzo 2019

Brüssel schlägt Sanktionen für Unternehmen in Ländern vor, die den Zugang von EU-Unternehmen zu öffentlichen Aufträgen verhindern

Die Debatte, die in der Europäischen Union und insbesondere in der Europäischen Kommission anlässlich des Besuchs des chinesischen Präsidenten stattfindet, ist sowohl wegen des Besuchs des chinesischen Staatschefs als auch wegen der Entwicklungen, zu denen diese Diskussion führen wird, von besonderer Bedeutung. Es ist gerade jetzt kein dringendes Thema, nämlich die Gewährleistung der Gegenseitigkeit und Gleichbehandlung von europäischen Unternehmen, wenn sie außerhalb der Union tätig sind. Die gegenwärtige Situation stellt tatsächlich in vielen Ländern mehrere Hindernisse dar, zu denen in Europa tätige Unternehmen frei gehören, und die europäische Unternehmen mit Zollschranken behindern, insbesondere im Zusammenhang mit dem öffentlichen Auftragswesen. Nationen wie China, Indien, die Türkei und Indonesien, um nur einige der wichtigsten zu nennen, verhindern tatsächlich den Zugang europäischer Unternehmen vom öffentlichen Beschaffungsmarkt, während dieselben Länder um denselben Markt in Europa konkurrieren. Die Präsenz Chinas nimmt somit vorherrschende Werte an und verpflichtet Überlegungen, die über wirtschaftliche Erwägungen hinausgehen, in die Bereiche Sicherheit und Datenschutz zu investieren. Wenn der Chef des Weißen Hauses dieses Problem schon lange angesprochen hat und versuchen will, eine protektionistische und anti-globalisierende Vision ohne Kontrollen auf eine Weise durchzusetzen, die auf keinen Fall diplomatisch ist, kann man den Modalitäten nicht zustimmen. Dies kann jedoch nicht übersehen werden Schwierigkeit existiert tatsächlich. Wir befinden uns in einer ungünstigen Weltwirtschaftslage, in der Europa unter der knappen Verfügbarkeit von Investitionen leidet, die die Fähigkeit zur Schaffung von Arbeitsplätzen und zur Umverteilung von Wohlstand beeinträchtigen. Die Rolle Chinas, die über große finanzielle Mittel verfügt, hat eine strategische Bedeutung erlangt, die die Gefahr eines Eintritts in die europäischen Volkswirtschaften mit sich bringt, was möglicherweise zu große Gegenspieler in der Wirtschaft, aber auch in der Politik, mit sich bringt. Hinter der mangelnden wechselseitigen Behandlung von Unternehmen steht eine Art Protektionismus, der im Gegenteil die sozialen und politischen Bereiche der Union alarmiert. Für die Europäische Kommission ist diese Gefahr real und der erste Schritt, den sie unternehmen will, ist die Schaffung von Mechanismen, mit denen Unternehmen in Ländern Beschränkungen auferlegt werden können, die den Eintritt europäischer Unternehmen in die öffentlichen Beschaffungsmärkte behindern. Dazu brauchen wir die Zustimmung der Regierungen der Mitgliedstaaten, die alles andere als definiert ist. Deutschland und Spanien sind zwar stark von diesem Phänomen betroffen, und die nordischen Länder lehnen diese Entscheidung ab, weil sie einen protektionistischen Willen identifizieren, der sich gegen die Politik der Marktöffnung richtet, die Brüssel auszeichnet. Nun ist die Unterscheidung zwischen Politik und Wirtschaft nicht immer möglich, aber in diesem Fall erscheint es wichtig, ein gemeinsames Ziel zu erreichen, das über den kurzfristigen Nutzen einer möglichen Investition hinausgehen kann. Wenn auf der einen Seite die Gegenseitigkeit der Behandlung von Unternehmen aus verschiedenen Ländern in den gleichen Märkten besteht, sollte dies als eine Frage der wirtschaftlichen Gerechtigkeit erscheinen, da sie eine Stabilisierung des freien Wettbewerbs gewährleistet und die Ungleichgewichtsfaktoren beseitigt, zum anderen die Bedeutung einer Entscheidung Ein gemeinsames Ziel, das die politischen Aspekte der Gewährleistung des freien Wettbewerbs schützt, sollte einen Wert haben, der sogar noch höher ist als die Chance eines wirtschaftlichen Gewinns als einzelner und isolierter. Zu oft wurde die Untätigkeit von Brüssel beklagt: In diesem Fall, in dem die Kommission die Initiative ergriffen zu haben scheint, verdient Brüssel mehr Unterstützung, auch in Anerkennung der Einheit des politischen Handelns im Namen der Union. Die Haltung derjenigen, die sich gegen den Protektionismus aussprechen, offenbart vielmehr einen klaren politischen Protektionismus, der insbesondere dem Souveränismus ähnelt, gegen den sich die Regierungen richten. Die wachsende Bedeutung Europas muss sich nicht nur auf sein Potenzial als Markt beziehen, sondern auch auf seine Autorität als politischer Gesprächspartner, um eine Dialektik zu ermöglichen, die den Unternehmen die Arbeit erleichtert und Wohlstand für die Bürger schafft. Die Festlegung von Bedingungen für den Zugang zu öffentlichen Aufträgen kann der erste Schritt sein, um auch diese Ungleichgewichte zu bekämpfen, da Arbeitnehmerrechte und zu niedrige Löhne nicht berücksichtigt werden, was die Privatwirtschaft der Schwellenländer erleichtert und die Voraussetzungen dafür geschaffen hat derzeitige Konzentration der Fertigung.

Bruxelles propose des sanctions pour les entreprises des pays empêchant les entreprises de l'UE d'accéder aux marchés publics

Le débat qui se déroule au sein de l'Union européenne, et en particulier à la Commission européenne, à l'occasion de la visite du président chinois, revêt une importance particulière, tant du fait de la visite du chef de l'Etat chinois que des développements sur lesquels cette discussion mènera. Il n'est pas devenu urgent pour le moment de garantir la réciprocité et l'égalité de traitement aux entreprises européennes opérant en dehors de l'Union. En fait, la situation actuelle pose de nombreux obstacles dans de nombreux pays auxquels les entreprises opérant en Europe appartiennent librement et qui entravent les entreprises européennes confrontées à des barrières douanières, notamment dans le contexte des marchés publics. Des pays comme la Chine, l'Inde, la Turquie et l'Indonésie, pour ne citer que quelques-uns des plus importants, empêchent en réalité l'accès des entreprises européennes aux marchés publics, alors que ces mêmes pays se font librement concurrence pour le même marché en Europe; la présence de la Chine acquiert alors des valeurs prépondérantes et oblige les entreprises autres que celles économiques à investir dans les domaines de la sécurité et de la protection des données. Si le président de la Maison-Blanche pose depuis longtemps ce problème pour tenter d'imposer une vision protectionniste et anti-mondialisation sans contrôle, avec des moyens qui ne sont certainement pas diplomatiques, on peut être en désaccord sur ses modalités, mais on ne peut pas ne pas reconnaître que cela la difficulté existe réellement. Nous nous trouvons dans une situation économique mondiale défavorable et où l’Europe souffre de la rareté des investissements disponibles, qui compromet la capacité de créer des emplois et de redistribuer la richesse. Le rôle de la Chine, qui dispose de grandes ressources financières, a acquis une importance stratégique qui fait craindre une entrée dans les économies européennes entraînant des contreparties trop importantes dans le secteur économique, mais aussi en politique. Derrière l’absence de traitement réciproque des entreprises, il existe au contraire une sorte de protectionnisme qui suscite l’inquiétude dans les secteurs sociaux et politiques de l’Union. Pour la Commission européenne, ce danger est réel et le premier pas qu’elle veut faire est de créer des mécanismes capables d’appliquer des restrictions aux entreprises des pays qui entravent l’entrée des entreprises européennes dans les marchés publics. Pour ce faire, nous avons besoin de l’adhésion des gouvernements des pays membres, qui semble être tout sauf définie. L'Allemagne, l'Espagne, bien que fortement touchées par ce phénomène et les pays nordiques s'opposent à cette décision car ils identifient une volonté protectionniste, contrairement à la politique d'ouverture au marché qui doit distinguer Bruxelles. Or, la distinction entre politique et économie n'est pas toujours possible, mais dans ce cas, ce qui semble important est la réalisation d'un objectif commun pouvant aller au-delà des avantages à court terme d'un investissement éventuel. Si d’une part la réciprocité de traitement des entreprises de différents pays sur les mêmes marchés, elle devrait apparaître comme une question de justice économique, car elle assure une stabilisation de la libre concurrence, éliminant les facteurs de déséquilibre, d’autre part l’importance d’une décision commune qui protège les aspects politiques de la garantie de la libre concurrence, devrait avoir une valeur encore plus grande que la possibilité de gain économique en tant que personne isolée et isolée. On se plaint trop souvent de l'inaction de Bruxelles: dans ce cas, où la Commission semble avoir pris l'initiative, Bruxelles mérite un soutien accru, également en reconnaissance de l'unité de l'action politique de la part de l'Union. Les attitudes de ceux qui se disent opposés au protectionnisme révèlent au contraire un protectionnisme politique clair, qui s'apparente particulièrement à ce souverainisme auquel ces gouvernements se disent opposés. L’importance croissante de l’Europe doit non seulement faire référence à son potentiel en tant que marché, mais également à son autorité en tant qu’interlocuteur politique, précisément pour permettre une dialectique qui facilite le travail de ses entreprises afin de créer de la richesse pour ses citoyens. La mise en place de conditions d’accès aux marchés publics peut être un premier pas pour combattre même ces déséquilibres, en raison de la non prise en compte des droits du travail et des salaires trop bas, ce qui facilite le secteur privé des pays émergents et a créé les concentration actuelle de fabrication.

Bruxelas propõe sanções para empresas em países que impedem empresas da UE de acessar contratos públicos

O debate que se realiza na União Europeia e, em particular, na Comissão Europeia, por ocasião da visita do presidente chinês, assume especial importância, tanto pela visita do chefe de Estado chinês como pelos desenvolvimentos que este debate conduzirá. Não se tornou uma questão urgente agora, a de garantir a reciprocidade e a igualdade de tratamento às empresas europeias quando operam fora da União; A situação atual, de fato, apresenta vários obstáculos em muitos países aos quais as empresas que operam na Europa pertencem livremente e que dificultam as empresas européias com barreiras alfandegárias, especialmente no contexto da contratação pública. Nações como a China, a Índia, a Turquia e a Indonésia, só para citar algumas das mais importantes, impedem o acesso a empresas europeias do mercado de contratos públicos, enquanto os mesmos países competem livremente pelo mesmo mercado na Europa; A presença da China, então, assume valores preponderantes e obriga a considerações que vão além das considerações econômicas para investir nas áreas de segurança e proteção de dados. Se o chefe da Casa Branca há muito levantou esse problema, para tentar impor uma visão protecionista e antiglobalização sem controles, com formas que certamente não são diplomáticas, pode-se discordar de suas modalidades, mas não se pode deixar de reconhecer que dificuldade realmente existe. Nós nos encontramos em uma situação econômica global desfavorável e onde a Europa sofre com a escassa disponibilidade de investimentos, que comprimem a capacidade de criar empregos e redistribuir a riqueza. O papel da China, que possui grandes recursos financeiros, assumiu uma importância estratégica que implicou o perigo de uma entrada nas economias européias, o que implica contrapartidas que podem ser muito altas no setor econômico, mas também na política. Por trás da falta de tratamento recíproco das empresas, existe uma espécie de protecionismo, o que gera alarme nos setores social e político da União. Para a Comissão Européia, esse perigo é real e o primeiro passo é criar mecanismos capazes de aplicar restrições a empresas em países que impedem a entrada de empresas européias nos mercados de compras públicas. Para isso, precisamos da adesão dos governos dos países membros, que parece ser tudo menos definido. A Alemanha, a Espanha, embora fortemente atingida por este fenómeno e os países nórdicos, opõem-se a esta decisão porque identificam uma vontade proteccionista, contrária à política de abertura ao mercado que deve distinguir Bruxelas. Agora, a distinção entre política e economia nem sempre é possível, mas neste caso o que parece importante é a realização de um objetivo comum que pode ir além dos benefícios de curto prazo de um possível investimento. Se, por um lado, a reciprocidade do tratamento de empresas de diferentes países nos mesmos mercados, deve aparecer como uma questão de justiça econômica, pois garante a estabilização da livre concorrência, eliminando os fatores de desequilíbrio, por outro a importância de uma decisão. comum que protege os aspectos políticos de garantir a livre concorrência, deve ter um valor ainda maior do que a oportunidade de ganho econômico como um único e isolado. Muitas vezes a queixa de Bruxelas foi reclamada: neste caso, onde a Comissão parece ter tomado a iniciativa, Bruxelas merece mais apoio, também em reconhecimento da unidade da acção política em nome da União. As atitudes daqueles que dizem que são contra o protecionismo revelam, em vez disso, um claro protecionismo político particularmente semelhante àquele soberanismo, ao qual esses governos se opõem. O crescimento da importância da Europa não deve referir-se apenas ao seu potencial como mercado, mas também à sua autoridade como interlocutor político, precisamente para permitir uma dialéctica que facilite o trabalho para os seus negócios, a fim de criar riqueza para os seus cidadãos. A colocação de condições no acesso a aquisições públicas pode ser o primeiro passo para combater até mesmo esses desequilíbrios, com base na incapacidade de levar em conta os direitos trabalhistas e salários muito baixos, que facilitam a indústria privada dos países emergentes e criaram as condições para concentração atual de fabricação.

Брюссель предлагает санкции для компаний в странах, которые препятствуют доступу европейских компаний к государственным контрактам

Дебаты, проходящие в Европейском союзе и, в частности, в Европейской комиссии по случаю визита президента Китая, приобретают особое значение как в связи с визитом главы китайского государства, так и в связи с событиями, к которым приведет это обсуждение. Сейчас это не стало актуальной темой, гарантирующей взаимность и равное отношение к европейским компаниям, когда они работают за пределами Союза; текущая ситуация, по сути, представляет собой несколько препятствий во многих странах, к которым компании, работающие в Европе, принадлежат свободно, и которые препятствуют европейским компаниям с таможенными барьерами, особенно в контексте государственных закупок. Такие страны, как Китай, Индия, Турция и Индонезия, и это лишь некоторые из наиболее важных, фактически препятствуют доступу европейских компаний к рынку государственных закупок, в то время как те же страны свободно конкурируют за один и тот же рынок в Европе; Присутствие Китая, таким образом, принимает преобладающие ценности и обязывает соображения, которые выходят за рамки экономических соображений, инвестировать в области безопасности и защиты данных. Если глава Белого дома уже давно поднимает эту проблему, пытаясь навязать протекционистское и антиглобалистское видение без контроля, причем способами, которые, безусловно, не являются дипломатическими, можно не согласиться с его условиями, но нельзя не признать, что это сложность на самом деле существует. Мы находимся в неблагоприятной глобальной экономической ситуации, в которой Европа страдает от дефицита инвестиций, что ограничивает возможности создания рабочих мест и перераспределения богатства. Роль Китая, обладающего крупными финансовыми ресурсами, приобрела стратегическое значение, что повлекло за собой опасность вхождения в европейские экономики, что влечет за собой противодействие, которое может быть слишком высоким в экономическом секторе, но также и в политике. За отсутствием взаимного отношения к компаниям, напротив, стоит своего рода протекционизм, который вызывает тревогу в общественном и политическом секторах Союза. Для Европейской комиссии эта опасность реальна, и первым шагом, который она хочет предпринять, является создание механизмов, способных налагать ограничения на компании в странах, которые препятствуют выходу европейских компаний на рынки государственных закупок. Чтобы сделать это, нам нужна приверженность правительств стран-членов, которая, кажется, совсем не определена. Германия, Испания, хотя сильно пострадали от этого явления, и страны Северной Европы выступают против этого решения, потому что они выявляют протекционистскую волю, вопреки политике открытия рынка, который должен отличать Брюссель. Сейчас различие между политикой и экономикой не всегда возможно, но в этом случае важным представляется достижение общей цели, которая может выходить за рамки краткосрочных выгод от возможных инвестиций. Если с одной стороны взаимность обращения компаний из разных стран на одних и тех же рынках, это должно выглядеть как вопрос экономической справедливости, поскольку обеспечивает стабилизацию свободной конкуренции, устраняя факторы дисбаланса, с другой стороны важность принятия решения Общее, защищающее политические аспекты обеспечения свободной конкуренции, должно иметь значение даже выше, чем возможность экономической выгоды как единой, так и изолированной. Слишком часто Брюссель жаловался на бездействие: в этом случае, когда, как представляется, Комиссия взяла на себя инициативу, Брюссель заслуживает большей поддержки, в том числе в знак признания единства политических действий от имени Союза. Отношение тех, кто заявляет, что они против протекционизма, вместо этого показывает явный политический протекционизм, особенно сродни тому суверенизму, против которого эти правительства заявляют, что они против. Рост важности Европы должен не только ссылаться на ее потенциал как на рынок, но и на ее авторитет в качестве политического собеседника именно для того, чтобы позволить диалектику, которая облегчает работу для ее бизнеса, чтобы создавать богатство для ее граждан. Установление условий доступа к государственным закупкам может стать первым шагом для борьбы даже с такими дисбалансами, поскольку они не учитывают трудовые права и слишком низкую заработную плату, что способствует развитию частного сектора в развивающихся странах и создает условия для текущая концентрация производства.

布魯塞爾對阻止歐盟公司獲取公共合同的國家的公司提出製裁

歐洲聯盟,特別是歐盟委員會在中國國家主席訪問期間進行的辯論尤其重要,因為中國國家元首的訪問,以及這次討論將導致的發展。剛剛在歐盟以外的地方開展業務時,保證歐洲公司的互惠和待遇平等,這一點尚未成為當務之急。事實上,目前的情況在許多國家都存在一些障礙,在歐洲經營的公司可以自由地進入這些國家,這會阻礙歐洲公司的海關障礙,特別是在公共採購方面。像中國,印度,土耳其和印度尼西亞這樣的國家,僅舉幾個最重要的國家,實際上阻止了歐洲公司進入公共採購市場,同時這些國家在歐洲同一市場自由競爭;因此,中國的存在具有優勢價值,並且必須考慮超出經濟考慮因素的投資,以便在安全和數據保護領域進行投資。如果白宮領導人長期提出這個問題,試圖在沒有控制的情況下強加保護主義和反全球化的願景,其方式肯定不是外交的,人們可以就其形式存在分歧,但人們不能不承認這一點。難度確實存在。我們發現自己處於不利的全球經濟形勢,歐洲的投資稀缺,這些投資壓縮了創造就業機會和重新分配財富的能力。具有大量財政資源的中國的作用具有戰略重要性,這已經帶來了進入歐洲經濟體的危險,這種危機導致經濟部門和政治部門的對手可能過高。在公司缺乏互惠待遇的背後,存在著一種相反的保護主義,這在國際電聯的社會和政治部門引起了恐慌。對於歐盟委員會來說,這種危險是真實的,它想要採取的第一步是建立能夠對阻礙歐洲公司進入公共採購市場的國家公司實施限制的機制。要做到這一點,我們需要成員國政府的粘合,這遠非定義。德國,西班牙雖然受到這種現象的嚴重打擊,但北歐國家卻反對這一決定,因為他們認定了一種保護主義意願,這與開放市場必須區分佈魯塞爾的政策背道而馳。現在,政治和經濟之間的區別並不總是可能的,但在這種情況下,重要的是實現一個可以超越可能投資的短期利益的共同目標。如果一方面來自同一市場中不同國家公司的待遇互惠,那麼它應該看作是經濟公正的問題,因為它確保了自由競爭的穩定,消除了不平衡的因素,另一方面決定了決策的重要性。保護自由競爭的政治方面的共同點,應該具有比單一和孤立的經濟收益機會更高的價值。布魯塞爾不採取行動的次數太多了:在這種情況下,委員會似乎採取了主動行動,布魯塞爾應得到更多支持,同時也承認代表國際電聯採取政治行動的統一。那些說他們反對保護主義的人的態度反而顯示出一種明顯的政治保護主義,特別類似於那些政府稱他們反對的主權主義。歐洲重要性的增長不僅要把它作為一個市場的潛力,而且還要把它作為一個政治對話者的權威,恰恰是允許一種促進其企業工作的辯證法,以便為其公民創造財富。在未能考慮到勞動權利和工資過低的基礎上,為獲取公共採購設置條件可能是打擊這些不平衡的第一步,這有利於新興國家的私營企業,並為其創造了條件。目前的製造業集中度。

ブリュッセルはEU企業が公共の契約にアクセスするのを妨げる国の企業に制裁を提案します

欧州連合、特に欧州委員会において、中国大統領の訪問の際に行われる議論は、中国国家元首の訪問のため、そしてこの議論が導くであろう進展のために、特に重要である。欧州の企業がEU外で事業を営んでいるときに、相互関係と待遇の平等を保証することは、今のところ緊急の話題にはなっていません。実際、現在の状況は、ヨーロッパで事業を営む企業が自由に属し、特に公的調達の観点から、関税障壁のあるヨーロッパの企業を妨げる多くの国でいくつかの障害を提示しています。中国、インド、トルコ、インドネシアなど、最も重要な国をいくつか挙げると、公共調達市場からヨーロッパの企業へのアクセスが実際に妨げられている一方で、同じ国がヨーロッパの同じ市場で自由に競争しています。そして、中国の存在は圧倒的な価値を帯び、経済的考察を超えた考察をセキュリティとデータ保護の分野に投資することを余儀なくさせる。ホワイトハウスの長がこの問題を長い間提起してきた、コントロールなしで保護主義と反グローバリゼーションのビジョンを強制しようとするならば、確かに外交的でない方法で、そのモダリティに反対することができる。実際には困難があります。我々は、世界的に不利な経済状況にあり、ヨーロッパが投資の乏しい利用可能性に苦しんでいるため、雇用を創出し富を再分配する能力を圧迫している。大きな財源を持つ中国の役割は、経済部門だけでなく政治においても高すぎる可能性のある相手方を伴う欧州経済への参入の危険性を伴う戦略的重要性を引き受けてきた。企業の相互的な取扱いの欠如の背後には、反対にある種の保護主義があり、それは連合の社会的および政治的部門に警戒感を与えている。欧州委員会にとってこの危険性は現実のものであり、それが講じるべき最初のステップは、欧州企業の公共調達市場への参入を妨げる国々の企業に規制を適用することができるメカニズムを作り出すことです。そのためには、加盟国の政府の遵守が必要です。ドイツ、スペイン、ブリュッセルを区別しなければならない市場開放の方針に反して、彼らが保護主義者の意志を特定するため、この現象と北欧諸国はこの決定に大きく反対しているが。現在、政治と経済の区別は必ずしも可能ではありませんが、この場合重要と思われるのは、可能性のある投資の短期的な利益を超える共通の目標を達成することです。一方で同じ市場の異なる国々からの企業の待遇の相互主義であれば、それは自由競争の安定化を確実にし、不均衡の要因を排除するため、経済的正義の問題として現れるべきです。自由競争を確保するという政治的側面を保護するという共通点は、単一で孤立したものとしての経済的利益の機会よりもさらに高い価値を持つべきである。欧州委員会が主導権を握っているように思われるこの場合、ブリュッセルの不作為は何度も不平を言ってきました。これもまた、ブリュッセルが北朝鮮を代表する政治的行動の統一性を認識しているためです。彼らが保護主義に反対していると言う人々の態度は、代わりに、それらの政府が彼らが反対していると言っているその主権主義に特に類似した明確な政治的保護主義を明らかにしている。ヨーロッパの重要性の高まりは、市場としての可能性だけでなく、市民のために富を創出するために事業のための仕事を促進する弁証法を可能にする政治的対話者としてのその権威にも言及しなければなりません。公的調達へのアクセスに条件を設けることは、新興国の民間産業を促進し労働者の権利を考慮していないために労働権や低すぎる賃金を考慮に入れていないことに基づく製造の現在の濃度。

تقترح بروكسل فرض عقوبات على الشركات في البلدان التي تمنع شركات الاتحاد الأوروبي من الوصول إلى العقود العامة

يحتل النقاش الدائر في الاتحاد الأوروبي ، وخاصة في المفوضية الأوروبية ، بمناسبة زيارة الرئيس الصيني ، أهمية خاصة ، بسبب زيارة رئيس الدولة الصيني ، وبسبب التطورات التي ستقودها هذه المناقشة. لم يصبح موضوعًا ملحًا في الوقت الحالي ، وهو ضمان المعاملة بالمثل والمساواة في المعاملة للشركات الأوروبية عندما تعمل خارج الاتحاد ؛ في الواقع ، يمثل الوضع الحالي العديد من العقبات في العديد من البلدان التي تنتمي إليها الشركات العاملة في أوروبا بحرية والتي تعيق الشركات الأوروبية مع الحواجز الجمركية ، وخاصة في سياق المشتريات العامة. دول مثل الصين والهند وتركيا وإندونيسيا ، على سبيل المثال لا الحصر من أهمها ، تمنع بالفعل الوصول إلى الشركات الأوروبية من سوق المشتريات العامة ، في حين تتنافس نفس البلدان بحرية على نفس السوق في أوروبا ؛ إن وجود الصين ، إذن ، يأخذ القيم الغالبة ويلزم الاعتبارات التي تتجاوز الاعتبارات الاقتصادية للاستثمار في مجالات الأمن وحماية البيانات. إذا كان رئيس البيت الأبيض قد أثار هذه المشكلة منذ فترة طويلة ، في محاولة لفرض رؤية حمائية ومناهضة للعولمة دون ضوابط ، بطرق ليست بالتأكيد دبلوماسية ، يمكن للمرء أن يختلف في طرائقها ، لكن لا يمكن للمرء أن يفشل في إدراك أن هذا صعوبة موجودة فعلا. نجد أنفسنا في وضع اقتصادي عالمي غير مواتٍ وحيث تعاني أوروبا من قلة الاستثمارات المتاحة ، مما يضغط على القدرة على خلق فرص العمل وإعادة توزيع الثروة. لقد اكتسب دور الصين ، التي تتمتع بموارد مالية كبيرة ، أهمية استراتيجية تنطوي على خطر الدخول إلى الاقتصادات الأوروبية والذي يستلزم نظراء قد يكونون مرتفعين للغاية في القطاع الاقتصادي ، وكذلك في السياسة. وراء عدم وجود معاملة متبادلة للشركات هناك نوع من الحمائية على العكس من ذلك ، الأمر الذي يثير القلق في القطاعات الاجتماعية والسياسية للاتحاد. هذا الخطر حقيقي بالنسبة للمفوضية الأوروبية والخطوة الأولى التي تريد اتخاذها هي إنشاء آليات قادرة على تطبيق قيود على الشركات في البلدان التي تعيق دخول الشركات الأوروبية إلى أسواق المشتريات العامة. للقيام بذلك ، نحتاج إلى تصديق حكومات الدول الأعضاء ، وهو أمر بعيد عن التعريف. تعارض ألمانيا وإسبانيا ، رغم تأثرها الشديد بهذه الظاهرة وبلدان الشمال الأوروبي ، هذا القرار لأنها تحدد إرادة حمائية ، على عكس سياسة الانفتاح على السوق التي يجب أن تميز بروكسل. الآن ، لا يمكن التمييز بين السياسة والاقتصاد دائمًا ، ولكن في هذه الحالة ، يبدو الأمر المهم هو تحقيق هدف مشترك يمكن أن يتجاوز الفوائد القصيرة الأجل للاستثمار المحتمل. إذا كانت المعاملة بالمثل من جانب الشركات من بلدان مختلفة في نفس الأسواق من ناحية ، فيجب أن تظهر كمسألة عدالة اقتصادية ، لأنها تضمن استقرار المنافسة الحرة ، والقضاء على عوامل الخلل ، من ناحية أخرى ، أهمية اتخاذ قرار المشتركة التي تحمي الجوانب السياسية لضمان المنافسة الحرة ، ينبغي أن يكون لها قيمة أعلى من فرصة لتحقيق مكاسب اقتصادية باعتبارها واحدة ومعزولة. في كثير من الأحيان تم الشكوى من تقاعس بروكسل: في هذه الحالة ، حيث يبدو أن اللجنة قد اتخذت المبادرة ، تستحق بروكسل مزيدًا من الدعم ، أيضًا تقديراً لوحدة العمل السياسي نيابة عن الاتحاد. إن مواقف أولئك الذين يقولون أنهم ضد الحمائية تكشف ، بدلاً من ذلك ، عن الحمائية السياسية الواضحة التي تشبه تلك السيادة ، والتي تقول تلك الحكومات إنها ضدها. يجب ألا يشير نمو أهمية أوروبا فقط إلى إمكاناتها كسوق ، بل أيضًا إلى سلطتها كمحاور سياسي على وجه التحديد للسماح بالجدلية التي تسهل العمل لشركاتها من أجل خلق ثروة لمواطنيها. يمكن أن يكون وضع شروط للوصول إلى المشتريات العامة هو الخطوة الأولى لمكافحة هذه الاختلالات ، استنادًا إلى الفشل في مراعاة حقوق العمال والأجور المنخفضة للغاية ، والتي تسهل الصناعة الخاصة في البلدان الناشئة والتي خلقت الظروف ل التركيز الحالي للتصنيع.